La nouvelle de Jean Giono, L'homme qui plantait des arbres, écrite en 1953 a été traduite en treize langues. Elle a été largement diffusée dans le monde. Le but de l'auteur avec cette histoire est celui de faire aimer à planter des arbres à partir d'un personnage imaginaire Elzéard Bouffier. Jean Giono voulait que l'on fasse "une politique de l'arbre", même si le mot "politique" semble pour lui un peu mal adapté!
Le film L'homme qui plantait des arbres, sous forme de dessin animé est superbe!
Projeto do Nível Avançado 1 :
* Lecture de la nouvelle;
* Recherche du lexique;
* Discussion hebdomadaire du texte;
* Film;
* Exposé oral d'une question sur le texte original!
Et alors, que pensez-vous de ce projet?
Comments
L'homme qui plantait des arbres
Bien sûr qu'il faut rendre hommage à l'auteur/écrivain de ce film d'animation , Jean Giono mais il ne faut surtout pas oublier le cinéaste,réalisateur/illustrateur Frédéric Back. C'est lui qui a réalisé et illustré/dessiné magnifiquement ce très beau film qui nous rappelle l'importance de préservé la nature.
Félicitations à l'auteur du récit et au réalisateur de ce film symbolique: la semence plantée d'un arbre représente toutes nos actions bonnes ou mauvaises; à nous de penser et d'agir en conséquence et de laisser un monde plus beau qu'à notre arrivée sur cette planète.
Estou de acordo ! Frédéric Back tem de ser lembrado!
Tout à fait d'accord avec cette observation.
Les illustrations sont magnifiques et Frédéric Back a su nos montrer le texte d'une façon inoubliable.
J'ai des étudiants qui ont vu ce film plusieurs fois et qui vont certainement le revoir tellement il est beau.
Correction
Ops Erreur:.........l'importance de préserver la nature.
Lexique illustré - L'homme qui plantait des arbres - Jean Giono
Si vous voulez lire cette nouvelle, alors, vous pouvez vous servir du Lexique Illustré que la classe Avançado 1 a préparé - CIL de Brasília /DF. Vérifiez sur Biblioteca
C'est une façon de garder des traces du travail accompli pendant le mois de mai/2014.
Bonne lecture!
Bien à vous tous et toutes, Denise